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Pharmacylounge est la première plateforme d'échanges confidentiels et éthiques réservés aux professionnels de la pharmacie. Autour des entités représentatives de la pharmacie, les pharmaciens de ville et d'hôpital ainsi que les étudiants et internes en pharmacie échangent de l'information professionnelle qualitative, de manière sécurisée et gratuite.
Présentation de l'épisode
Episode 0 de présentation de ce tout nouveau contenu. Le concept est simple : aborder un sujet de l'actualité des pharmaciens et des acteurs de la pharmacie en compagnie d'un invité.
Dans l'actualité cette semaine
A la une cette semaine du quotidien du Pharmacien “De nouvelles baisses de prix annoncées sur plusieurs groupes génériques”.
Cet article nous explique que face à cette décision du Comité économique des produits de santé la profession est très inquiète. Pourquoi ?
Tout simplement parce que cette diminution de prix de l’autre de 10 à 15% concerne des classes de génériques très dispensées en ville. Cette situation pourrait donc avoir dans un avenir proche des répercussions sur le chiffre d'affaires de certaines pharmacies.
Les syndicats estiment également que cette approche risque encore plus de créer des tensions et autres ruptures sur les approvisionnements. La balle est maintenant dans le camp du ministre de la Santé pour valider ou pas cette décision.
L’ordre des pharmaciens revient sur la publication d’un décret fixant les pénalités financières en ville en cas de non-application du processus de sérialisation.
On y apprend que depuis 2019 le pharmacien doit vérifier les dispositifs de sécurité et désactiver l’identifiant unique sur les boîtes de médicaments qu’ils délivrent.
Un nouveau décret qui sera applicable au 1er janvier 2024 fixe les sanctions en cas de non-respect de la réglementation. En pratique, c’est l’assurance maladie qui sera destinataire des identifications des pharmacies non conformes et sera chargée de l’application des sanctions. Afin d’éviter les amendes, le pharmacien aura néanmoins un délai d’un mois pour se mettre en conformité.
“Grippe : les médecins veulent aussi des vaccins dans leurs cabinets !” publie cette semaine le moniteur des pharmacies.
Les instances représentatives des généralistes s’inquiètent du taux de vaccination qui n’arrive pas à décoller en France notamment dans les populations à risque. Face à ce constat et comme le demandent aussi les infirmiers libéraux, les médecins souhaiteraient pouvoir disposer dans leurs cabinets d’un stock de vaccin. Cette mise à disposition permettrait selon les syndicats de tenter de rattraper le retard pris dans la couverture vaccinale des patients.
La revue Pharma s’intéresse aux “Pénuries” avec “les grossistes-répartiteurs qui fustigent les ventes directes et proposent de la transparence.”.
On apprend que les professionnels de la répartition mettent à disposition un outil de suivi en quasi-temps réel leurs stocks disponibles dans les entrepôts des grossistes. Cette application constitue un outil de suivi notamment pour les autorités de Santé.
La profession alerte d’autre part sur les phénomènes de ventes directes aux officines qui perturbent fortement le marché déjà sous tension. En cause, certaines pratiques de surstockage par certains pharmaciens qui déstabilisent les équilibres sur des molécules en rupture.
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